J'ai fait ce résumé de pop sot, je le poste aussi sur ce forum.
Il y a des milliers d’années, l’Impératrice du temps, une Daeva venu de la plaine cachée d'Aresura, se réfugie sur une île après avoir découvert que sa mort approchait. Elle y utilise ses pouvoirs pour créer les Sables du Temps, pensant qu’ils lui permettront d´échapper au temps et au destin.
Elle crée également plusieurs artefacts qui ont le pouvoir d´utiliser les Sables pour influer sur le temps et de protéger leur porteur des pouvoirs terribles des Sables. Le fait que les Sables soient aussi dangereux vient peut-être de l´état d´esprit de Kaileena, qui, effrayée par son destin et rendue amère et cruelle, a insufflé ses pensées au Sables.
Bien après leur création, le Maharadja d’Inde, avide de pouvoir, part en quête des terribles Sables. Une fois sur l’île du temps, forteresse de l’impératrice, la troupe du Maharadja se fait presque entièrement décimer. Il ne devra son salut qu’au Masque des Revenants, artefact mystique, qui lui permettra de changer le funeste destin qui lui était réservé. Finalement il réussit à s’emparer du légendaire sablier contenant les Sables du Temps. Il ramène aussi quelques uns des artefacts du temps se trouvant sur l’île. Une dague, un médaillon et une crosse.
Des années plus tard, le Vizir, mourrant, au service du Maharadja trahie son maître pour la solde du roi de Perse. Il ouvre les portes du palais au roi Sharaman et à son armée et espère ainsi s’approprier les Sables du Temps.
Pendant l’attaque du palais, le jeune prince de Perse réussit à récupérer la fameuse Dague du Temps aux pouvoirs très surprenants. En effet grâce aux réserves de Sable qu’elle contient, le Prince réussit à rembobiner le cours du temps et à éviter la chute d’une pierre qui aurait dut lui être fatale.
Le Maharadja est tué, sa fille Farah capturée et son palais pillé. Au grand désespoir du Vizir, la dague est gardée par le prince et le roi Sharaman décide d’offrir le sablier et Farah à son ami le Sultan de Azad.
Une fois à Azad, le Prince commet la plus grande erreur de toute sa vie. Trompé par le Vizir, il plonge la dague dans le sablier ce qui a pour effet de libérer les Sables contenus dans la partie inférieur. Une simple formule magique suffit à déchaîner la colère des Sables. Le ciel gronde, le sol tremble et les mur s’effritent. La terrible malédiction s’abat aussitôt sur le palais. Tous les être vivants ; soldats, servantes, esclaves, animaux… sont touchés par les Sables des temps. Leurs dépouilles sont immédiatement transformées en des bêtes incapables de parler ou de ressentir des émotions, seulement obsédés par le sang et le meurtre de tout ce qui vit. Seul le Prince protégé par la dague, Farah protégée par son médaillon et le traître de Vizir protégé par sa crosse sont épargnés du carnage.
Le jeune Prince, aidé de la ravissante Farah et des puissants pouvoirs des Sables tente alors de réparer son geste en détruisant à l’aide de la dague chaque créature qui se dresse sur son chemin et en essayant de retrouver le sablier.
Tout au long de son périple, le prince réussit à décupler les pouvoir de la dague et à décupler sa force grâce à de mystérieuses fontaines.
Il se découvre aussi le don de voir des bribes du futur grâce aux vortex de Sable qui se forment progressivement lors des combats. Ces puissantes visions lui permettent de changer le cours de certaines choses et d’échapper plusieurs fois au destin.
Le Prince doit alors affronter nombre d’ennemis dont son père qui comme les autres n’a pu échapper aux pouvoirs primitifs des Sables.
Au fil de l’aventure, après une rencontre houleuse et entre deux querelles d’enfants, le Prince et la ravissante Farah commencent à se rapprocher pour ensuite tomber amoureux. Le jeune homme risquant sa vie pour elle et réciproquement. Dans un autre contexte, leur amour aurait pu être parfait. Le caractère de Farah et le manque de total de tact et de romantisme du Prince ont lieu à des répliques des plus amusantes.
Puis, après bien des dangers, de morts évitées grâce à la dague et d’ennemis plus horribles les uns que les autres, le Prince et Farah arrivent devant le sablier. Malgré les sentiments qu’il ressent pour la jeune femme, le Prince ne peut s’empêcher de douter d’elle. Ce moment d’hésitation leur est fatal. Le Vizir arrive et déchaîne les Sables sur les deux amoureux qui sont aussitôt expédiés au fin fond d’un tombeau.
Après un légère dispute, Farah laisse sous entendre ses sentiments à l’égard du Prince et lui murmure un mot secret que sa mère lui avait un jour confié. « Kakouloukyam ». Une trappe apparaît et Farah emprunte le passage qui vient de se révéler a eux. Le Prince pénètre a son tour dans le passage et découvre un lieu aussi beau que mystérieux. Un succession de portes énigmatiques le ramène sans cesse aux même endroit.
Finalement, il réussit a retrouver Farah qui prend tranquillement un bain. Le Prince dépose ses armes aux pieds d’une statue et se joint à elle. Seuls et abandonnés de tous mais heureux dans les bras l’un de l’autre, ils passent une nuit magique ensemble.
Le réveil pour le Prince est plutôt dur. Farah, décidée à réparer les erreurs du prince, a disparue avec la dague et son épée, lui laissant son médaillon pour le préserver des effets néfastes des Sables.
Le Prince, ayant peur qu’il n’arrive quelques malheurs à sa bien aimée, part sans attendre à sa suite et grimpe la tour de l’Aube espérant plus que tout la retrouver à temps. Son seul problème est l’absence de la dague qui l’oblige à être très prudent.
Après une escalade plus que périlleuse, le Prince réussit à rejoindre Farah dans la dernière pièce de la tour, juste au dessus du sablier. Malheureusement, il arrive trop tard.
Farah qui lutte courageusement contre une horde de puissants ennemis est violemment projetée dans un des trou du sol. Elle tente tant bien que mal de se raccrocher au sol avec la dague mais celle-ci cède sous son poids. Le Prince réussit à la retenir en la rattrapant par la dague, coté lame, mais ne réussit pas à la remonter. Voyant que le Prince risque de lâcher la dague, elle lui adresse un dernier regard rempli de tristesse. « Kakouloukyam ». Elle lâche prise et tombe.
Elle s’écrase dans la pièce en dessous, prés du sablier. Prés de sa quête qu’elle vient d’échouer.
La dague vide, le Prince ne peut qu’assister impuissant à la mort de celle qu’il aime. Remplis de chagrin et de rage, il combat alors avec violence la vague d’ennemis qui arrive de toute part.
Puis quand tout est fini, quand il est enfin couvert d’honneur et de gloire comme il l’avait tellement souhaité, il se jette une dernière fois dans le vortex de sable qui jaillit devant lui.
Désespéré, le Prince, descend et pleure sur le corps inanimé de Farah. Celle qu’il aime tant est morte. Tous ceux qu’il aime, sont morts. Tous. Par sa faute.
Le Vizir malfaisant et machiavélique apparaît, réclamant une fois de plus la dague et lui proposant l’immortalité. Le jeune homme lui adresse alors un regard rageur « Je choisis la mort ».
Dans un dernier élan, le Prince grimpe sur le sablier et plonge de toutes ses forces la dague dans le dôme.
Les Sables retournent dans le sablier et sa partie supérieur se referme.
Le cours du temps se rembobine alors, et reprend bien avant la libération des sables. La nuit avant l’attaque du palais du Maharadja.
Le Prince se réveille en sursaut avec la dague. Dans sa chambre, Farah aussi se réveille, a l’exception qu’elle a oublié tout ce qui c’est passé.
Le Prince, dague en main, court a travers la jungle vers la chambre de la jeune femme pour lui raconter son histoire, leur histoire. Bien sûr, le jeune femme ne le reconnaît pas mais écoute tout de même le récit du jeune prince.
Au matin, toujours dans la chambre de Farah, le Prince et la jeune princesse sont interrompus par le Vizir.
Celui-ci attaque mais ses pouvoirs magiques bien que puissants ne peuvent rivaliser avec ceux du prince. Au terme du combat, le Vizir, à bout de force, s’écroule mort sur le balcon. S’en est finit de lui.
Farah remercie alors le prince mais à du mal a croire l’histoire qu’il lui a été conté.
Le Prince tente de lui voler un baiser mais se fait repousser. Utilisant une dernière fois la dague, il remonte brièvement le temps pour éviter de mettre en colère la jeune femme.
Voyant qu’il a de toute façon perdu son amour, il lui remet la dague du temps puis part. Farah, intriguée, lui demande son nom avant de partir. Le sourire au lèvre, et le regard pleins de tendresse, il lui répond « Kakouloukyam » et disparaît laissant Farah surprise et perplexe...
Dernière édition par Adrien le 29 Oct 2005, 20:54:13. Edité 9 fois |